Tiny Awards [en]
A small prize to celebrate interesting, small, craft-y internet projects and spaces which basically make the web a more fun place to be.
A small prize to celebrate interesting, small, craft-y internet projects and spaces which basically make the web a more fun place to be.
Le web “bon marché” est une approche solarpunk du web design.
Un webring du web low-tech.
L’ouverture d’extensions de domaines a permis aux URLs de s’extraire des .com, .net ou .org pour explorer de nouveaux territoires.
Être un poème plutôt qu’un logiciel, conclut Robin Rendle dans une note sur ce que devrait être un site personnel.
« Les espaces qui m’ont particulièrement marqué ont tous une certaine qualité de lenteur, de calme, et/ou de rassemblement. On devrait examiner attentivement les qualités de l’environnement de vie que chaque espace web nous offre. »
A manifesto for (Web)Site-Specific Art, by Chia Amisola.
Une enquête, une recherche, une exploration de prototypage collective qui tente de répondre à la question : « Comment pouvons-nous rendre le web plus naturel et plus humain que les ordinateurs ou les institutions ? »
Un article et une vidéo d’Aral Balkan, fondateur d’une fondation dédiée à la « small tech ». Y sont décrits les principes d’un « small web » décentralisé et personnel, par opposition au « Big Web ».
« Small and independent blogs are always full of surprises. The more blogs I stumble upon, the more genuinely surprised I am by the things people do with their blogs. » Une liste de trucs cools sur des blogs et pages perso, dressée par Wouter Groeneveld.
Get rid of the grid! Une approche d’un design sans grille, perçues par l’auteur comme un héritage inutile, un mythe fondateur mais encombrant du design imprimé.
Hallointer.net est une « plateforme pour l’internet contemporain » maintenue par David Liebermann, dont la collection se concentre sur des approches novatrices, bizarres ou inattendues du design ou du code pour le web.
Une conférence de Jen Simmons dans lequelle elle explore les possibilités de la mise en page pour le web, se référant à des exemples issus de la presse magazine.
Let’s make humanism, democracy, and inclusion the real Web 3.0. Une note de Jeffrey Zeldman, qui revient brièvement sur l’histoire du web et espère en son devenir.
Give the browser some solid rules and hints, then let it make the right decisions for the people that visit it, based on their device, connection quality and capabilities.
Un podcast sur le design, le code et l’état de l’industrie du web. Espen Brunborg et Vasilis van Gemert y mettent en question la façon dont nous concevons et réalisons les choses sur le Web.
Paru dans le numéro 70 de la revue Eye, cet essai de David Crow parcourt les questions liées à la notion d’artisanat dans le design graphique et dans ses outils numériques.
A Sustainable Internet for All, le premier du numéro du magazine Branch, publié en 2020, dresse un état des lieux des approches visant à la “soutenabilité numérique” dans le monde anglo-saxon.
Article fondateur d’Ethan Marcotte dans les colonnes d’A List Apart, qui réunit sous ce terme une mise en page flexible, compatible avec tous les affichages, utilisant des grilles fluides, des images flexibles et les requêtes de média.
Un article de Jay Hoffmann qui retrace l’émergence de l’inscription fondamentale de l’accessibilité dans les logiques du web, signalant les outils qui ont permis aux designers et aux développeurs de découvrir ces problématiques.
Jay Hoffmann publie son Histoire du Web sous la forme d’une chronologie en ligne sur thehistoryoftheweb.com, elle s’adosse à une archive d’articles ainsi qu’à une série sur CSS Tricks.
À partir de l’exemple de Superbad.com créé par Ben Benjamin en 1997, Caroline Delbert analyse la manière dont le web mainstream a pu s’approprier les bizarreries du web indépendant.
En parallèle du HTML et de HTTP, la troisième brique fondamentale du Web : l’adressage unique des documents – et le souhait affirmé d’une intagibilité de cet adressage.
Gauthier Roussilhe formule une critique de la notion de “low-tech”, dont il signale l’intérêt mais aussi la fragilité, et avance une tentative de définition : « une démarche politique qui permet de recomposer son rapport à un monde contraint par la “technique” ».
Un texte publié en 2007 par Étienne Mineur qui signale une perte de pouvoir des graphistes dans le champ du web et du numérique à l’heure de l’avènement des templates et la nécessaire reconfiguration de leurs activités.
« C’est l’histoire de la naissance du web, de sa perte d’innocence, de son déclin, et de ce que nous pouvons faire pour le rendre un peu moins grossier. » Une présentation en vidéo des raisons de l’existence de l’IndieWeb dans le vlog d’Heydon Pickering.
Un article de Matt Griffin sur A List Apart, publié en 2016, dans lequel s’expose la controverse entre deux visions des futurs souhaitables du web ; l’un, guidé par l’Extensible Web Manifesto, l’autre par les tenants du Progressive enhancement.
L’IndieWeb se présente comme une alternative au web corporate et aux réseaux centralisés. Elle promeut des sites web personnels, hébergés de manière indépendante, qui permettent de conserver les données sociales de leurs auteurs sur leurs propres domaines.
Créé en 2012 par Tim Holman, The Useless Web référence des sites “inutiles”, étranges, drôles, idiots, absurdes, poétiques ou bizarres. Il est un des espaces qui signale la diversité des productions spécifiques au web.
Contract for the Web est une initiative de la World Wide Web Foundation dont le but serait de restreindre ou d’éliminer la manipulation politique, les fake news, les violations de la vie privée et d’autres problèmes liés à Internet.
« Si l’internet était un pays, il serait le 7e plus grand pollueur. » Un manifeste qui liste quelques grands principes pour proposer un web –et un internet– viable.
La transcription d’une conférence donnée par le designer Franck Chimero où il constate et déplore la complexité grandissante de l’écosystème et des processus du design et du développement web.
Un article à la mise en forme singulière de Robin Rendle qui questionne la tendance à la démultiplication des newsletters et à la disparition des blogs et des espaces de publication individuels.
Un article d’Étienne Cliquet, artiste membre du collectif Téléférique, malheureusement basé sur une méconnaissance – encore trop répandue dans le champ de l’art – des enjeux du design, mais qui propose une réflexion intéressante sur la notion d’esthétique par #défaut.
Maciej Cegłowski sur la “crise d’obésité des sites web”. Il constate l’augmentation constante de la taille (du poids en octets) des pages web, et propose des hypothèses pour pallier au problème (plutôt Minecraft que Call of Duty) et conclue “Keeping the Web simple keeps it awesome.”
Situer le numérique est un manuel pédagogique qui permet d’introduire et de comprendre les #enjeux environnementaux du numérique. Ce manuel peut servir à former les personnes qui souhaitent travailler sur les impacts environnementaux du numérique et sur l’écoconception web, quelque soit leur niveau sur le sujet.
Se basant sur l’exemple de gov.uk, Terence Eden signale combien la robustesse est des plus grandes qualités du HTML, en ce qu’il favorise l’accessibilité, la performance et la résilience d’une page web.
Brutalistwebsites propose une définition formulée ainsi : « Par sa rugosité et l’indifférence aux formes faciles ou confortables, le Brutalisme peut être considéré comme une réaction de la jeune génération à la légèreté, à l’optimisme et à la frivolité du webdesign actuel ».
CSS is Rad, resilient design on an infinite canvas est une conférence de Miriam Suzanne, donnée à de multiples reprises. C’est un plaidoyer puissant pour comprendre en quoi CSS est un outil #radical.
Le design fluide crée des formes aux propriétés liquides capables de s’adapter à tous les supports.
Un essai de Louise Drulhe qui étend la notion de fluidité à différentes dimensions du web et des internets : écosystème de création, licences libres, espace de liberté, connectivité des données, malléabilité des structures…
« Et si nous concevions des sites web exclusivement pour les personnes handicapées ? En d’autres termes, que se passerait-il si nous inversions le syndrome du “biais des capacités” et commencions à créer des expériences sur-mesure pour et avec de vraies personnes handicapées ? » Un projet de recherche mené par Vasilis van Gemert.
Un article au titre un brin provoquant de Jeremy Wagner, qui tache d’exprimer pourquoi il est plus essentiel pour lui que le web soit ennuyeux qu’obstrusive.
The most resilient ideas from the history of web design combined into an approach for building the websites of the future.
Un essai fondateur de Jeremy Keith sur la nécessité et l’importance de la résilience dans le champ du web design.
Les sites web sont des lieux, intrinsèquement publics, habités, locaux, des artefacts culturels, construits, ils vieillissent, existent dans des cadres, sont réalisés par des individus, sont prototypiques.
Qu’on l’aime ou qu’on le déteste, le langage CSS est étrange. Il ne fonctionne pas comme la plupart des langages de programmation, et ne fonctionne pas non plus comme les outils de design traditionnels. Mais CSS est la solution a un problème très singulier : que signifie « designer » sur un média aussi fluide que le web.