Small is beautiful
Un toot du récement populaire Aral Balkan me fait me rendre compte de l’écart qui existe entre différents partisans du « small web » et des velléités d’appropriation que ce terme fait naître.
Un toot du récement populaire Aral Balkan me fait me rendre compte de l’écart qui existe entre différents partisans du « small web » et des velléités d’appropriation que ce terme fait naître.
Un webring du web low-tech.
Gauthier Roussilhe formule une critique de la notion de “low-tech”, dont il signale l’intérêt mais aussi la fragilité, et avance une tentative de définition : « une démarche politique qui permet de recomposer son rapport à un monde contraint par la “technique” ».
« Si l’internet était un pays, il serait le 7e plus grand pollueur. » Un manifeste qui liste quelques grands principes pour proposer un web –et un internet– viable.
Un article d’Étienne Cliquet, artiste membre du collectif Téléférique, malheureusement basé sur une méconnaissance – encore trop répandue dans le champ de l’art – des enjeux du design, mais qui propose une réflexion intéressante sur la notion d’esthétique par #défaut.
Maciej Cegłowski sur la “crise d’obésité des sites web”. Il constate l’augmentation constante de la taille (du poids en octets) des pages web, et propose des hypothèses pour pallier au problème (plutôt Minecraft que Call of Duty) et conclue “Keeping the Web simple keeps it awesome.”
Situer le numérique est un manuel pédagogique qui permet d’introduire et de comprendre les #enjeux environnementaux du numérique. Ce manuel peut servir à former les personnes qui souhaitent travailler sur les impacts environnementaux du numérique et sur l’écoconception web, quelque soit leur niveau sur le sujet.