Internet et logiciel libre
À la fin des années 70 émergent parallèlement ces deux briques de base du web. Mêmes acteurs, mêmes lieux et une interdépendance absolue –chacun ayant besoin de l’autre pour exister.
Dès 1993, le web a été placé dans le domaine public, et rapidement mis sous licence libre, signalant la volonté d’ouverture et d’universalisme du projet. S’il a permis à des “jardins clos” d’éclore (les plateformes que l’on connait aujourd’hui), ses fondations libres ont été fondamentales dans son émergence et sont à réinvestir pour qu’un avenir désirable puisse lui être donné.
À la fin des années 70 émergent parallèlement ces deux briques de base du web. Mêmes acteurs, mêmes lieux et une interdépendance absolue –chacun ayant besoin de l’autre pour exister.
Une enquête, une recherche, une exploration de prototypage collective qui tente de répondre à la question : « Comment pouvons-nous rendre le web plus naturel et plus humain que les ordinateurs ou les institutions ? »
L’IndieWeb se présente comme une alternative au web corporate et aux réseaux centralisés. Elle promeut des sites web personnels, hébergés de manière indépendante, qui permettent de conserver les données sociales de leurs auteurs sur leurs propres domaines.
Contract for the Web est une initiative de la World Wide Web Foundation dont le but serait de restreindre ou d’éliminer la manipulation politique, les fake news, les violations de la vie privée et d’autres problèmes liés à Internet.
« Si l’internet était un pays, il serait le 7e plus grand pollueur. » Un manifeste qui liste quelques grands principes pour proposer un web –et un internet– viable.
Les sites web sont des lieux, intrinsèquement publics, habités, locaux, des artefacts culturels, construits, ils vieillissent, existent dans des cadres, sont réalisés par des individus, sont prototypiques.
⍨I want to challenge us all to have greater ambitions for the web. I want the web to reflect our hopes and fulfill our dreams, rather than magnify our fears and deepen our divisions.